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À la rencontre d’Edouard Williams Brunet : un jeune ambassadeur dédié à la cause!
Publié le 8 octobre 2025
L’IRIC a eu la chance de s’entretenir avec Edouard William Brunet, coprésident du comité des Jeunes Philanthropes de l’IRIC. Ayant reçu le diagnostic d’un cancer au début de sa vingtaine, Edouard souhaite redonner à son tour en amassant des fonds pour la recherche. L’IRIC est fier de mettre en lumière cette personnalité inspirante.
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Edouard Williams Brunet, j’ai 27 ans et je suis coprésident du comité des jeunes philanthropes de l’IRIC. Je suis un ancien athlète universitaire en ski alpin et j’ai obtenu un baccalauréat en finance à McGill en 2021. Après deux ans en banque d’affaires chez RBC Marchés des Capitaux, je travaille maintenant en investissements en sciences de la vie chez Investissement Québec.
Pourquoi t’impliques-tu pour l’IRIC?
En 2020, j’ai été diagnostiqué avec une leucémie myéloïde aiguë et j’ai reçu une greffe de cellules souches la même année. Le 2 novembre prochain je vais célébrer mes cinq ans de rémission, ce dont je suis très reconnaissant. L’IRIC est un véritable bijou ici à Montréal, et mon engagement est pour moi une façon de redonner et de participer à l’avancée de la recherche.
Pourquoi est-il important de donner pour la recherche sur le cancer?
Parce que sans financement, la recherche ne peut pas avancer. Chaque don, peu importe sa taille, a un impact réel sur les découvertes et sur les patient(e)s. Donner, c’est participer directement à sauver des vies.
De quelle façon le comité des Jeunes Philanthropes souhaite faire une différence dans la lutte contre le cancer?
On veut mobiliser la relève autour d’une cause qui nous touche tous de près ou de loin. Le comité organise des événements qui soutiennent concrètement la recherche à l’IRIC.
Quel est ton souhait pour l’avenir de la recherche sur le cancer?
Que la recherche continue d’offrir de l’espoir à ceux qui en ont besoin. Que les découvertes d’aujourd’hui deviennent les traitements de demain. Et que Montréal reste et consolide sa position comme leader au Canada dans la recherche sur le cancer.